Occurences de l'expression

Vent

pour DANCOURT, Florent Carton dit

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L'OPÃ‰RATEUR BARRY (1702)

Hors un mal de tête qui me tient presque toujours, une douleur de dents continuelle, mon petit rhume de poitrine ordinaire, une colique qui me prend de temps en temps dans le bas ventre, le mouvement de cette hanche-là que je n'ai pas bien libre, de grandes lassitudes dans les cuisses, et la jambe gauche qui me refuse un peu le service ; à cela près, je me porte à merveilles, et je suis toujours gai et gaillard, comme vous voyez. (Acte 2, scène 2, GARGUILLE)
Un certain Capitan, un batteur de pavé, qui est si souvent au Cabaret, et qu'on voit presque tous les jours ivre, le Seigneur Spacamonte. (Acte 2, scène 4, GARGUILLE)

LES AGIOTEURS (1710)

La housse ôtée, il n'y a qu'à la secouer, autant en emporte le vent, cela s'en va comme de la poussière. (Acte 2, scène 3, DURILLON)
Non, non, non, je n'ai garde : qu'il ne parle point de l'aventure du Président, cela n'est bon à rien. (Acte 2, scène 3, DURILLON)
Nous logeons, monsieur Craquinet et moi, dans deux rues différentes ; mais les maisons se trouvent si favorablement disposées, qu'un angle de mur en est mitoyen, et nous avons par-là pratiqué une ouverture secrète, qui forme l'armoire en question ; de sorte qu'on ne nous voit point aller l'un chez l'autre, on nous croit brouillés même, et nous soupons tous les soirs ensemble, pour nous rendre compte de nos affaires. (Acte 2, scène 4, TRAPOLIN)
Hé bien, Monsieur Trapolin, cela ne vaut rien, ces gens-là manqueront incessamment, et ils n' n'ont pas encore huit jours dans le ventre. (Acte 2, scène 7, CRAQUINET)
Il faut qu'ils crèvent, il n'y a pas grand inconvénient de les achever. (Acte 2, scène 7, TRAPOLIN)
J'y suis un peu lésée, mais je m'en accommode, et le secours de mon bon ami Monsieur Trapolin, m'est souvent nécessaire. (Acte 3, scène 6, MADAME MALPROFIT)
Je n'en doute pas, vous êtes un fort honnête homme, fort serviable, et que dans les occasions... moyennant de certaines conventions... (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
La cruelle aventure, la maudite journée ! (Acte 3, scène 16, TRAPOLIN)
Oui : mais s'ils le trouvent, ce ne sera pas pour la restitution, ce sera pour le partage. (Acte 3, scène 21, DUBOIS)
Voilà une aventure chagrinante. (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)
Que je suis malheureux, toutes sortes d'accidents m'arrivent, et ce ne sera peut-être pas là le dernier de la journée. (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)
Ne faites point de bruit de l'aventure, au moins, cela nuirait à votre crédit, et au mien, peut-être. (Acte 3, scène 21, DUBOIS)
Les vingt mille écus de la succession de votre oncle ne nous peuvent manquer. (Acte 3, scène 24, ZACHARIE)

LES ENFANTS DE PARIS (1699)

Et trouvent toujours condamnables v.5 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Tu sais, Finette, que souvent? v.295 (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
De vous mettre dans un Couvent ; v.297 (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Le plus souvent contre Monsieur son père ; v.321 (Acte 1, scène 7, MERLIN)
Elle prendrait bientôt le parti du Couvent. v.515 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
Et du Couvent le retraite honorable, v.567 (Acte 1, scène 9, FINETTE)
Le Couvent à coup sûr aura la préférence. v.702 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Tromper Monsieur Harpin dans plus d'une aventure, v.759 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
Apparemment ta cervelle s'évente ? v.866 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANTE)
Et ce qu'il vous dit là se pratique souvent ; v.973 (Acte 2, scène 12, MADAME ARGANTE)
Il n'est rien tel que le Couvent, v.975 (Acte 2, scène 12, MADAME ARGANTE)
Dès aujourd'hui doivent ici venir v.1041 (Acte 2, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
Vous les verrez souvent l'un et l'autre à ma table. v.1055 (Acte 2, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
Je ferai bien connaître qu'assez souvent v.1426 (Acte 3, scène 15, ANGÉLIQUE)
Bon, la voilà qui prend le parti du Couvent. v.1428 (Acte 3, scène 15, FINETTE)
Point d'autre choix, ou le Couvent, ou vous. v.1446 (Acte 3, scène 16, MONSIEUR HARPIN)
Sans prévention. v.1492 (Acte 4, scène 1, MERLIN)
Ce dessein d'aller au Couvent, v.1500 (Acte 4, scène 2, ANGÉLIQUE)
Cette aventure v.1522 (Acte 4, scène 3, MADAME ARGANTE)
Sur l'espoir du Couvent tout son bonheur se fonde. v.1578 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Du Couvent tout d'abord elle a pris le parti, v.1594 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Entre nous, d'aller au Couvent. v.1662 (Acte 4, scène 4, FINETTE)
C'est un petit esprit qui tourne au moindre vent, v.1663 (Acte 4, scène 4, MADAME ARGANTE)
Dans le Couvent ma nièce n'ira point. v.1672 (Acte 4, scène 4, MADAME ARGANTE)
Pour le Couvent sens-tu que tu sois née ? v.1691 (Acte 4, scène 5, MONSIEUR HARPIN)
Oui, j'ai pour vous, ma nièce, un Couvent tout trouvé, v.1707 (Acte 4, scène 5, MADAME ARGANTE)
Au Couvent pour toujours elle veut s'aller mettre. v.1728 (Acte 4, scène 6, FINETTE)
Déjà le Couvent par bonheur v.1914 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
De voir ma fille au Couvent satisfaite, v.1969 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR HARPIN)
Entre Monsieur et le Couvent, mon père, v.2080 (Acte 5, scène 12, ANGÉLIQUE)

LES VACANCES (1697)

Acoutez, n'y a que deux mots qui sarvent ; vous êtes nouveau venu dans le village aussi bien que ly, ne vous brouillez point avec les habitants. (Acte 1, scène 1, LE MAGISTER)
Vous autres Procureurs de Cour Souveraine, vous avez souvent de bonnes occasions : mais un pauvre diable comme moi... (Acte 1, scène 3, LÉPINE)
Je veux la marier à un vieux greffier, dont je suis sûr qu'elle ne voudra point ; et je la gênerai tant, je la gênerai tant, qu'elle fera quelque sottise, qui m'autorisera à la mettre dans un Couvent. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Et je vais de mon côté moi lui préparer plus d'embarras que la guerre et la robe ne lui en peuvent faire. (Acte 1, scène 6, MADAME LA ROCHE)
Hé bien, ma chère Madame la Roche, je ne me trompais point dans mes conjectures : ce vilain Greffier, que je t'ai dit qui me venait voir au Couvent, et qui faisait tant le radouci. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Non, c'est un jeune Officier, qui venait au Couvent où j'étais, voir une de ses parentes. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
On m'a fait sortir du Couvent, j'ignore où il est ; il ne sait ce que je suis devenue ; je n'ai point de ses nouvelles. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Vraiment, cela ne se fait point ; et ces officiers-là ne savent pas... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR GRIMAUDIN)
Pardonnez-moi, ils savent bien que ce sont des bourgeoises : ils disent qu'ils les aiment mieux que des femmes de qualité. (Acte 1, scène 12, MADAME LA ROCHE)
Ventrebleu, j'avais bien raison. (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Et par quelle aventure ? (Acte 1, scène 14, CLITANDRE)
Ce n'est point par aventure, Monsieur ; c'est par raison. (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Voilà ce jeune Officier dont je te parlais, qui venait au Couvent. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Cette aventure est toute des plus imprévues pour moi, je vous l'avoue, et je ne m'attendais pas... (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Procès, Inventaire, v.36 (Acte 1, scène 24, DEUX PROCUREURS)

LA DÃ‰ROUTE DU PHARAON (1693)

Il n'y a que les sots qui vivent de leurs rentes, les habiles gens vivent de celles d'autrui. (Acte 1, scène 3, BELISE)
Si si Signorà per populo, per la canailla, ma non per mi qui suis un home de distinction, un home de permission, les défenses ne sont pas faites pour les personnes qui savent se permette-ré-tout. (Acte 1, scène 4, GARBATACASE)
De lui-même, Marton, je la soupçonne de m'avoir destinée pour lui, dans la pensée qu'il est homme de grosse condition, et dans l'espérance d'une fortune considérable que son oncle et lui doivent faire au jeu. (Acte 1, scène 10, CELIDE)
Ce sont deux aventuriers tombés des nues, des Chevaliers de l'industrie, que l'on ne connaît que par le jeu, et qui ne subsistent que par-là comme mille autres de leur caractère. (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
Tantôt on est Marquis, tantôt Chevalier, puis Marchand, Abbé quelquefois, Financier souvent ; dans la dernière affaire qui m'est arrivée, je passais pour un Procureur, le croiriez-vous ? (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
Ces choses-là n'ont pas besoin de réflexions, et j'ai ouï dire toute ma vie que l'Angleterre était au Pérou pour un habile joueur, comme Monsieur_le_Baron, la plupart de ces Milords ne savent que faire de leur argent. (Acte 1, scène 13, BELISE)
Un notaire est toujours notaire ; mon enfant, ces Messieurs-là savent le prix de l'argent, et il y a de certains bourgeois qui ne se dérangent point. (Acte 1, scène 15, LA COMTESSE)
Mais ventrebleu on y jouera comme de coutume, ou je ferai beau bruit pour mon argent. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Oui, Madame, pour mon argent ; morbleu, je suis ruiné, si l'on ne joue, mais ventrebleu, vous jouerez les uns et les autres jusqu'à ce que je sois payé de ce qui m'est dû. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Voilà de l'argent bien aventuré si on ne joue plus. (Acte 1, scène 19, LA COMTESSE)
Où diantre, sans cela, pourrais-je attraper tous ceux qui me doivent ? (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Ventrebleu, madame, qu'on donne des cartes encore une fois. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
Vous êtes un extravagant, prenez-vous de vos chagrins à ceux qui vous doivent. (Acte 1, scène 19, BELISE)
Oh très certainement, il est bien sûr qu'on n'a point fait assez réflexion sur les inconvénients qui en peuvent arriver. (Acte 1, scène 20, ÉRASTE)
Et c'est ce jeu-là qu'il fallait défendre, et non pas le Lansquenet et le Pharaon, qui sont les plus beaux jeux du monde, les plus universels, qui peuvent amuser utilement trente ou quarante personnes à la fois, et où l'on ne saurait faire la moindre petite friponnerie. (Acte 1, scène 21, MARTON)
Mais vraiment, voici une aventure qui devient sérieuse. (Acte 1, scène 25, LA MARQUISE)
Je ne sais où j'en suis ; quelle aventure ? (Acte 1, scène 25, BELISE)
Allons nous mettre à table, que le Bal continue, et que cette aventure nous corrige de l'extravagance qu'il y a de jouer avec des masques. (Acte 1, scène 26, BELISE)
T'enlèvent tes meilleurs sujets. v.54 (Acte 1, scène 27, ENSEMBLE)
Réduit souvent les plus cruelles v.63 (Acte 1, scène 27, ENSEMBLE)

LES FONDS PERDUS (1686)

Ventrebleu Madame, point de scrupules. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
J'étais dans sa chambre à préparer ses habits, quand je l'ai entendu grommeler quelque chose entre ses dents ; je me suis bien douté de ce que c'était ; car il rêve tout haut le plus souvent. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
Vous êtes charmante en toutes manières mais les cheveux noirs, surtout, ne servent pas peu à faire paraître la blancheur de votre teint. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Bon, bon, que les mesures de vieux fous comme cela peuvent-ils prendre, que le bonheur des jeunes gens, et l'adresse de ceux qui les servent, ne rendent facilement inutiles ? (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Je crains que cela ne dure pas, et tu la fourbes un peu trop souvent. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
Il a rompu son éventail, parce qu'elle s'en cachait le visage. (Acte 3, scène 1, LISETTE)
L'aventure est tout a fait drôle. (Acte 3, scène 6, LISETTE)

LA MAISON DE CAMPAGNE (1697)

Non ; mais on me mettra à la porte, et on enverra Mariane dans un couvent. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Vous ne savez pas ce que c'est qu'un couvent pour une grande fille qui a coutume d'être dans le monde ? (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Pas trop ; mais le vieux pénard se désespère souvent ; car, il a beau faire et beau dire, madame sa femme va toujours son train. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ventregué, après ceux-là, il faut tirer l'échelle, et ce sont les plus belles philosomies de parsounes que j'aie jamais vues. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
Ventrebleu, je leur ferai si mauvaise mine, qu'ils n'y seront pas si longtemps. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BERNARD)
Mais ventrebleu, faudra-t-il que j'aie des pensionnaires comme ceux-là ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BERNARD)
Vivent, vivent morbleu les gens de chez nous, pour être francs et généreux ! (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Eh ventrebleu, madame , je suis ruiné par les vôtres, moi. (Acte 1, scène 14, MONSIEUR BERNARD)
Nous profiterons de sa mauvaise aventure. (Acte 1, scène 15, MADAME-BERNARD)
Oh, ventregué, ne vous boutez pas en peine ; je leur tiandrai bian tête moi tout seul. (Acte 1, scène 21, THIBAUT)
Quoi, ventrebleu ! Des gens que je ne connais point ? (Acte 1, scène 21, MONSIEUR BERNARD)
Mais ventrebleu, rira bien qui rira le dernier. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR BERNARD)
Cette invention est admirable. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR GRIFFARD)
Ne vous fâchez donc point, vlà vos Houberiaux qui arrivent. (Acte 1, scène 28, THIBAUT)
Oui ; mais je serais ravi d'entendre ce qu'ils disent entre eux de l'invention que j'ai trouvée. (Acte 1, scène 31, MONSIEUR BERNARD)

LA TRAHISON PUNIE (1707)

Vous passez fort souvent la nuit sous sa fenêtre, v.244 (Acte 1, scène 8, DON FÉLIX)
Des sentiments du coeur qu'on n'est souvent pas maître, v.380 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Une affaire d'éclat, un Couvent, une fuite. v.491 (Acte 2, scène 3, DON GARCIE)
Sont des titres souvent pour obtenir ensuite. v.500 (Acte 2, scène 3, JACINTE)
Avec prévention vous en jugez peut-être ? v.774 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
Vos troubles, vos chagrins peuvent-ils m'abuser. v.775 (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Sait le larron souvent... La proposition... v.888 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
Se sont-ils vus souvent ? v.1315 (Acte 4, scène 7, DON JUAN)
C'est une invention que mon petit génie, v.1437 (Acte 5, scène 1, JACINTE)
Vivent les gens d'esprit, v.1475 (Acte 5, scène 2, FABRICE)

LE GALANT JARDINIER (1704)

Une jeune enfant, qui a passé toute sa vie dans un couvent, qui n'en sort que depuis quinze jours... (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
En un mot, nous l'avons tirée du couvent pour la marier, elle sera mariée, et tout au plus vite. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUBUISSON)
Son père lui avait écrit d'y venir pour cela, et l'on n'en a ni vent ni nouvelle ; cela me fait comprendre que c'est un jeune homme qui craint de prendre un engagement. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR DUBUISSON)
Je ne sais ce que j'en ai fait ; mais je vous en dirai le sens : Trente pistoles à gagner pour qui donnera, chez monsieur Orgon, des nouvelles d'un jeune officier sur la route d'Allemagne ; le jeune homme, de taille ni petite ni grande, l'encolure déchargée, la jambe sèche et qui porte au vent. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
Que sa mère vient de retirer du couvent. (Acte 1, scène 6, LÉANDRE)
On te paiera tout à la fin, si nos projets peuvent réussir. (Acte 1, scène 7, LA MONTAGNE)
Vous voilà fraîchement sortie du couvent, où je sais bien que vous enragiez d'être ; on va vous marier, et vous avez du chagrin ? (Acte 1, scène 9, MARTHON)
Ça, ça, remettez-vous ; je sais bien qu'un aveu tendre coûte à faire à une fille qui sort du couvent, mais cela viendra ; le mot d'amour vous effarouche à présent, mais l'usage adoucira le mot et la chose, et vous ne l'aurez pas entendu prononcer cinq ou six fois, que vous en aurez pris l'habitude. (Acte 1, scène 9, MARTHON)
S'expliquer ainsi en sortant du couvent ! (Acte 1, scène 9, MARTHON)
C'est donc une aventure de carrosse que celle-ci ? (Acte 1, scène 9, MARTHON)
Par la ventrebleu il ne l'est pas encore. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR DUBUISSON)
La plaisante aventure ! (Acte 1, scène 18, MARTHON)
Elle m'a avoué que tout ceci était de l'invention d'un homme qui voulait faire à mademoiselle votre fille des présents de noces d'une manière galante. (Acte 1, scène 21, LA MONTAGNE)
Lucile vient souvent rêver. v.2 (Acte 1, scène 22, LA PAYSANNE)
Lucile vient souvent rêver. v.4 (Acte 1, scène 22, LA PAYSANNE)
Dédiez-nous souvent de vos ouvrages. (Acte 1, scène 22, MARTHON)
Monsieur et madame Dubuisson, par quelle aventure vous trouvé-je ici ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR BAVARDIN)
Vraiment, il n'y a point là d'aventure, nous sommes chez nous, Monsieur Orgon. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR DUBUISSON)
Je n'ai retiré ma fille du couvent, moi, que pour ce mariage-là. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR DUBUISSON)

LES CURIEUX DE COMPIÃˆGNE (1698)

Je ne suis point jaloux de l'invention ; parlez. (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Sympathiserions-nous ensemble quelque tant soit peu, par aventure ? (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Non, assurément, on ne saurait prendre trop de précautions pour empêcher de jeunes personnes de répondre aux témoignages d'estime et de tendresse que de jeunes gens peuvent leur donner. (Acte 1, scène 13, MADAME PINUIN)
Oh, cadédis, fussiez-vous liés du noeud gordien, je le coupe, c'est mon affaire ; et nous ne nous quitterons pas que toutes nos conventions ne soient bien signées de part et d'autre, je les garde à vue. (Acte 1, scène 23, LE CHEVALIER)
De cette gaillarde aventure, v.19 (Acte 1, scène 24, LE CHEVALIER)
Que de Bourgeois viennent à l'aventure, v.31 (Acte 1, scène 24, MONSIEUR TOUVENEL)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1697)

Arrive-t-il souvent que l'on y réussisse ? v.56 (Acte 1, scène 2, THALIE)
Les Airs et les Chansons ne se retrouvent plus. v.239 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
Venez en foule, et souvent, c'est assez. v.254 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
À quoi peuvent-ils être bons, v.301 (Acte 2, scène 2, LA JEUNESSE)
Souvent les offense. v.466 (Acte 3, scène 3, MADEMOISELLE DESMARRES)
Si les traits des amours ne peuvent se parer, v.474 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR PONTEUIL)
Et vous rirez de l'aventure. v.562 (Acte 4, scène 1, LA MONTAGNE)
Disent-ils la bonne aventure. v.584 (Acte 4, scène 1, OLIMPE)
Chevalier, les jaloux souvent se font haïr. v.607 (Acte 4, scène 1, LA COMTESSE)
Nous disons la bonne aventure ici, v.623 (Acte 4, scène 1, MADEMOISELLE DESMARRES)
Avec des Paravents. v.662 (Acte 5, scène 1, LE VICOMTE)
Des feux cachés ne peuvent m'attendrir ; v.678 (Acte 5, scène 2, AMINTE)
Ils en savent de gais, vous n'avez qu'à choisir. v.714 (Acte 5, scène 2, LE COMÉDIEN)

L'IMPROMPTU DE SURESNES (1713)

Il est bien vrai que l'Amour ne va jamais sans la Folie ; mais je vais souvent sans l'Amour. (Acte 2, scène 1, LA FOLIE)
Je ne vous dis pas cela, mon coeur dépend de moi, je vous l'ai donné, je vous le laisse, ma volonté dépend de celle de mes parents, je la soumets à ce qu'ils me prescrivent. (Acte 2, scène 2, LUCILE)
Il faut bien lui signifier l'ordre et les menaces que l'on m'a faites en cas de contravention. (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
Vous voilà bien malade ; j'ai plus à souffrir que vous des aventures dont nous nous mêlons. Ce jeune Chevalier qu'on croit à l'armée, et qui mange avec des coquettes et des filous le bien de sa mère, dont il ne jouit pas encore, est-ce à vous que l'on se prend de sa conduite ? (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
Un honnête Procureur de ma connaissance donne tous les jours cent coups de pied dans le ventre de Madame sa femme ; on m'en accuse, on dit qu'il est ivre, il n'est qu'amoureux et jaloux ; ce sont vos affaires, et on en fait les miennes. (Acte 2, scène 9, BACCHUS)
C'est que vos deux États relèvent des miens ; c'est moi qui en règle la police. (Acte 2, scène 11, LA FOLIE)
Par quelle heureuse aventure? vous n'êtes pas seule ici apparemment ? (Acte 2, scène 13, KERPINOT)
Vous y venez souvent apparemment ? (Acte 2, scène 14, LA FOLIE)
Bonne partie quand on partage ; mais le père et la mère vivent, nous jouissons par indivis ; qui plus en prend, plus en possède, et je prétends vous faire voir que je n'ai pas la main mauvaise : cette vie aisée vous conviendra-t-elle ? (Acte 2, scène 15, LE CHEVALIER)
Voilà une bonne chienne de pratique, les bords de l'eau sont pleins d'ivrognes, qui emportent des bouteilles, et qui boivent en chemin à la santé du maître-garçon. (Acte 2, scène 16, FORÊT)

RENAUD ET ARMIDE (1692)

Je ne retournerai plus dans le Couvent, ma chère enfant, je ne retournerai plus dans le Couvent. (Acte 1, scène 4, MIMI)
Oh, sur ce pied-là vous y demeurerez ; il n'y aura plus de Couvent pour vous, je vois bien cela. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Je ne m'étonne plus qu'elle y aille si souvent. (Acte 1, scène 4, LISETTE)

LE CHEVALIER Ã€ LA MODE (1687)

C'est un aventurier qui n'en a pas le temps, un jeune extravagant qui n'a pas cent pistoles de revenu, qu'on ne connaît à la Cour que par le ridicule qu'il s'y donne, et qui n'a pour tout mérite que celui de boire, et de prendre du tabac. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-MIGAUD)
Eh ventrebleu, maraud, ne t'ai-je pas dit que quand je suis chez une femme, je ne veux point que tu me viennes parler d'aucune autre. (Acte 1, scène 7, LE-CHEVALIER)
Vous savez déjà cette aventure ? (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Ventrebleu, Madame Patin, vous devriez vous défaire de toutes vos manières et de vos airs de grandeur, surtout pour ne plus recevoir d'avanie pareille à celle d'aujourd'hui. (Acte 2, scène 2, MONSIEUR-SERREFORT)
Je ne serai point satisfaite, qu'il ne lui soit arrivé quelque aventure désespérante. (Acte 2, scène 3, MADAME-PATIN)
Mais vous, Madame, par quelle aventure... (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
J'ai un moulin à vent, Madame : il est à moi ce moulin à vent, on m'empêche de le faire tourner. (Acte 2, scène 9, LA-BARONNE)
Une jeune femme, dont on force les volontés, tombe souvent dans de terribles irrégularités ; surtout quand son mari a du faible pour elle, et qu'elle a du penchant pour un autre. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR-MIGAUD)
Bon, Madame, est-ce que les gens comme Monsieur le Chevalier sont faits pour attendre, et peuvent-ils demeurer en place ? (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Il me semble que des personnes comme vous, dévouées au public, ne doivent être que chez eux ou au Palais, occupés uniquement à leurs affaires, ou à celles de leurs parties. (Acte 3, scène 2, MADAME-PATIN)
Nous préférons souvent celles de nos amis, et je veux bien vous avouer que quelques avis qu'on m'a donnés sur quelque chose qui vous regarde, m'ont fait remettre à deux ou trois jours le jugement de ce procès dont vous m'avez écrit. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR-MIGAUD)
Je ne trouve rien de plus fatigant pour moi que des conventions, des articles... (Acte 3, scène 6, LE-CHEVALIER)
Mais, Monsieur, (car, il n'y a personne dans ce logis, et nous pouvons parler en assurance de vos fredaines) de qui savez-vous cette aventure, s'il vous plaît ? (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Hé, à quoi la Baronne et Madame Patin vous peuvent-elles être unies dans cette affaire ? (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Ce sont de bons sots, Monsieur, que vos beaux esprits, de plaisanter de cette aventure-là. (Acte 4, scène 2, MADAME-PATIN)
Oh, ventrebleu, Madame, j'y viendrai jour et nuit, de moment en moment ; et je vais si bien assiéger votre maison et la mienne, qu'il n'y entrera personne à qui je ne fasse sauter les fenêtres, pour peu qu'il ait de l'air d'un Marquis, ou d'un Chevalier. (Acte 4, scène 4, MONSIEUR-SERREFORT)
Oh, ventrebleu, ma pendarde de belle-soeur n'est pas encore où elle s'imagine. (Acte 5, scène 1, MONSIEUR-SERREFORT)
Merci de ma vie, le premier qui avance, je lui donnerai de ces deux épées dans le ventre. (Acte 5, scène 3, LA-BARONNE)
Ma pauvre nièce, quelle aventure ! (Acte 5, scène 6, MADAME-PATIN)
Hé bien, Monsieur, ne ferez-vous pas quelque petit air sur cette aventure-là ? (Acte 5, scène 8, CRISPIN)

LA FOLLE ENCHÃˆRE (1690)

Avec quelle dureté, avec quelle prévention ma mère a refusé de consentir à mon mariage, sans vouloir apprendre même ni le nom ni la famille de la personne que j'aime ! (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Je suis accablé d'aventures ; la plupart des jeunes gens sont à l'armée, toutes les coquettes de Paris me tombent sur les bras. (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
Il y a tant d'autres gens qui ne savent que faire ; et la Robe ne fournit-elle pas d'aussi jolis hommes que l'Épée ? (Acte 1, scène 10, LISETTE)
Je suis au désespoir de cette aventure, et tout à fait confus de la manière dont elle se termine. (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
Toutes sortes de malheurs m'arrivent. (Acte 1, scène 17, ANGÉLIQUE)
Cherche, invente, ma pauvre Lisette. (Acte 1, scène 19, ANGÉLIQUE)
Le mépris ne fait rien à la chose, Madame ; qu'on se méprise, qu'on se déteste, on ne laisse pas souvent de s'épouser. (Acte 1, scène 21, MERLIN)
Examinez Madame la Marquise ; je lui demande pardon de parler ainsi devant elle, mais enfin elle m'y réduit ; voyez son air et ses manières, et regardez sans prévention les charmes de Madame. (Acte 1, scène 22, ANGÉLIQUE)
Hé bien, mon père, si l'établissement de ma soeur est une chose où vous soyez si sensible, il se rencontre ici une aventure merveilleuse. (Acte 1, scène 22, ANGÉLIQUE)

LE RETOUR DES OFFICIERS (1697)

Quand il n'y a que de la robe et de la Finance dans le commerce, les Sous-fermiers brillent, on les trouvent passables : mais sitôt qu'on revoit des Officiers, ces autres Messieurs-là deviennent si laids, si laids? (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
Tant mieux, Madame, c'est bon signe, ils vous en apporteront eux-mêmes ; ils savent bien que nous sommes à Péronne, et dès qu'ils pourront quitter l'armée, ils viendront d'abord ici, apparemment. (Acte 1, scène 4, TOINETTE)
Point de disputes, Mesdemoiselles, un financier, un homme de robe, ou un couvent, et le congé à ces deux Messieurs surtout ; que je ne les voie pas davantage. (Acte 1, scène 6, MADAME THOMAS)
Vous serez le préféré, et lui la dupe de l'aventure. (Acte 1, scène 10, TOINETTE)
Non, Monsieur, point de convention, jamais de marchés avec moi, j'agis sans intérêt : je ne vous demande que votre amitié et votre robe seulement. (Acte 1, scène 12, CLITANDRE)
Le mariage est fait pour multiplier le genre humain, et des épées ne servent qu'à le détruire. (Acte 1, scène 15, TOINETTE)

LA FÃŠTE DE VILLAGE. (1700)

Oh, vraiment, je sais bien qu'elle les a, de par tous les diables, et s'en sert souvent, c'est le pis que j'y trouve. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BLANDINEAU)
Que tu es cruelle de m'abandonner à mes chagrins, et de ne pas être avec moi le plus souvent qu'il t'est possible ! (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
J'ai déjà eu cent coups de pied dans le ventre, pour cette affaire-ci ; il est bon de m'en tenir là. (Acte 1, scène 9, LOLIVE)
Hé, quelle affaire, Madame Carmin ; sont-ce des laines d'Hollande, d'Angleterre, qui vous arrivent ? (Acte 2, scène 4, L'ÉLUE)
Vous m'avez vendu des laines éventées, que je vous renverrai, Madame la Présidente. (Acte 2, scène 4, L'ÉLUE)
Madame l'élue est avec elle qui fait tout comme elle ; elles s'asseyent, elles se lèvent, elles se tourmentent, elles se lamentent ; elles m'ont donné chacune deux soufflets, parce que je ne pouvais m'empêcher de rire. (Acte 2, scène 9, CLAUDINE)
La Terre de Monsieur_le_Comte est à moi, je la lui rends après ma mort ; je lui assure tout mon bien : vous avez assuré le vôtre à votre nièce, ils peuvent bien vous céder un titre qui vous fait plaisir. (Acte 3, scène 10, NAQUART)

LA COMÃ‰DIE DES COMÃ‰DIENS (1710)

C'est lui-même, il vient ici souvent ; ce n'est pas pour moi, quelque autre raison l'y attire. (Acte 1, scène 1, MARTON)
Vous êtes contente, et vous devez l'être, et je ne négligerai jamais d'être le témoin de votre bonheur, le plus souvent et le plus longtemps qu'il me sera possible. (Acte 1, scène 2, LÉANDRE)
Ne craignez point d'écouter ; les jolis gens comme vous sont souvent plus heureux qu'ils ne méritent. (Acte 1, scène 2, MARTON)
Ce n'est ni la famille, ni la profession qui me répugnent ; et une grande marque de cela, c'est que si je voyais ces petits Messieurs-là faire ce qu'ils doivent, je serais le meilleur de leurs amis. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
Monsieur, voici trois carrossées de parents qui vous arrivent en masques. (Acte 1, scène 6, NICOLE)
Pour l'invention, je suis Perille, et pour l'instruction, un Aristippe, pour l'Histoire, un Tite-Live, pour la curiosité, je suis un Zénon, pour le secret, un Metellus, pour la science, un Hiperide, pour le travail, un Adrian, pour l'amitié, un Oreste, et pour la force, un autre Hercule. (Acte 2, scène 11, ANGÉLIQUE)
Cela serait beau, que Jupiter désertât ainsi l'Olympe, et demeurât toujours sur la terre ; passe encore d'y venir promener quelquefois de temps à autre, quand il se rencontre par hasard quelque aimable mortelle qui en vaut la peine, et dont les faveurs peuvent dédommager des frais du voyage. (Acte 3, scène 1, MOMUS)
Comme ils sont cause de sa disgrâce, ils doivent bien lui donner un asile. (Acte 3, scène 1, MOMUS)
Non, mais les grands font-ils le moindre accueil à ceux qu'ils savent disgraciés ? (Acte 3, scène 1, JUPITER)
Les Dieux d'un certain rang savent respecter les lois de l'hospitalité. (Acte 3, scène 2, LE DOCTEUR)
N'êtes-vous point par aventure? (Acte 3, scène 8, L'AMOUR)
Mais l'effet est souvent fatal. v.216 (Acte 4, scène 2, L'AMOUR)
Parfois c'est moi, souvent c'est elle. v.229 (Acte 4, scène ", THIBAUT)
A souvent nombre de rivaux, v.280 (Acte 4, scène ", L'AMOUR)
L'auteur de l'aventure v.290 (Acte 4, scène 4, L'AMOUR)
Vous devenez souvent fort inutiles ; v.318 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
Pour couronner l'aventure, v.377 (Acte 4, scène 4, SPINETTE)

L'OPÃ‰RA DE VILLAGE (1693)

Enfin Monsieur Bouvillon est ici, à ce que j'ai ouï dire ; c'est un chercheur d'aventures, et vous ne lui êtes pas inutile. (Acte 1, scène 4, LA FLÈCHE)
Ne nous embarquons point mal à propos ; attendons sans faire semblant de rien, le dénouement de l'aventure. (Acte 1, scène 11, LA FLÈCHE)
Les chanteuses d'importance ne se trouvent pas aux répétitions, si régulièrement que les autres. (Acte 1, scène 12, LA FLÈCHE)

SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR (1712)

Certes, vous me contez une étrange aventure. v.21 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
Il faut être vaillant, et souvent téméraire, v.65 (Acte 1, scène 1, DON QUICHOT)
Et je ne sais comment et par quelle aventure v.133 (Acte 1, scène 3, SANCHO)
Des inconvénients qui peuvent arriver, v.187 (Acte 1, scène 5, SANCHO)
Et mettons à profit l'aventure plaisante v.206 (Acte 1, scène 8, LE DUC)
Ici mon aventure à la vôtre est pareille. v.298 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
Des clefs ! Ces Principaux savent mal leur métier ; v.319 (Acte 1, scène 11, SANCHO)
De quoi prévoir les maux qui peuvent t'arriver. v.448 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Ce parfait des parfaits parle souvent à toi, v.543 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
Aux Seigneurs les honneurs ; souvent trop parler nuit ; v.591 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Que tel qui peut choisir, bien souvent prend le pire. v.598 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
Le beau brin de femelle ! Ah, la triste aventure ! v.689 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
Et quelle aventure ai-je à tenter ? v.768 (Acte 2, scène 8, DON QUICHOT)
Ma foi, bonne ou mauvaise aventure, v.769 (Acte 2, scène 8, SANCHO)
La fin de notre longue et pénible aventure, v.785 (Acte 2, scène 8, MADIAN)
Avant que vous voyiez la fin de l'aventure. v.832 (Acte 2, scène 8, LE DUC)
La probité, l'honneur, peuvent-ils vous permettre? v.1108 (Acte 3, scène 4, SANCHO)
Quand la table est servie, au dépend de mon ventre v.1152 (Acte 3, scène 5, SANCHO)
Aux fêtes qu'en ces lieux souvent nous lui donnons, v.1548 (Acte 5, scène 1, LE DUC)
Pour nous jusqu'à présent l'aventure est plaisante : v.1558 (Acte 5, scène 1, LA DUCHESSE)
Mon ventre gronde à tout propos ? v.1575 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
Que reçoivent les grands Seigneurs, v.1590 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
Son aventure terminée, v.1609 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
Peuvent saigner des coups qu'on leur donne étant morts. v.1667 (Acte 5, scène 7, MENDOCE)
(Mon maître est fou, l'aventure est plaisante.) v.1921 (Acte 5, scène 17, SANCHO)

LE CHARIVARI (1697)

L'aventure est assez bizarre. (Acte 1, scène 5, ÉRASTE)
Hé, ventregué ce n'est pas ça, c'est celle d'Ambroise et de la grande Margot que vous velez dire ; car pour la mienne, c'est un secret, voyez-vous, il ne faut morgué pas que personne en sache rian. (Acte 1, scène 6, THIBAUT)
Je ne sais pas queu vent a soufflé sur la maison ; mais votre fille et votre nièce sont tout aussi folles que vous, je vous en avartis. (Acte 1, scène 11, MATHURINE)
Oh, ventregué, Madame, rengainez vos injures, je ne sis point un parfide, voyez-vous ? (Acte 1, scène 20, THIBAUT)

LE VERT-GALANT (1699)

Le hasard nous fournira quelque aventure favorable, dont il faudra tâcher de profiter. (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
Quelque aventure favorable ! (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Vous avez bon esprit et bonne conduite, je me rapporte à vous de toutes choses, et vais attendre le dénouement de l'aventure. (Acte 1, scène 7, MADAME TARIF)
Quel tour donner à cette aventure ? (Acte 1, scène 15, TARIF)
Comment, ventrebleu, Monsieur Tarif est aussi de la partie ! (Acte 1, scène 16, JÉRÔME)
Monsieur Tarif n'en aura que la peur ; le ressentiment de mon oncle ne sera pas si bien servi qu'il se l'est promis, et l'aventure sera plus ridicule que sérieuse. (Acte 1, scène 18, ÉRASTE)
Voilà comme font tous ces vilains maris, ils dérangent tout autant qu'ils peuvent toutes les parties de plaisir que font leurs femmes. (Acte 1, scène 19, MADAME TARIF)
Au dénouement de l'aventure, v.21 (Acte 1, scène 27, JAVOTTE)

SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX (1707)

Ce sont des hommes, que cela : voilà des gens qui savent vivre. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Fort bien, elle prétend en faire son époux : mais il n'en fera jamais que la trésorière, lui, et je gagerais bien qu'il ne la regarde que comme une aventure de quartier d'hiver, dont il ne songe qu'à tirer quelques plumes. (Acte 2, scène 1, BERTRAND)
Oh, ventrebleu il en a, je vous en réponds ; je me donne au Diable s'il y a dans les troupes un plus joli valet que celui-là, c'est lui qui fait toutes les chansons grivoises que son maître vous chante quelquefois. (Acte 2, scène 2, LE MAJOR)
Si vous voulez pour vous amuser que je vous dise la bonne aventure. (Acte 2, scène 3, THÉRÈSE)
On lit ta bonne aventure dans la main d'autrui, Chevalier. (Acte 2, scène 3, LE MAJOR)
Tel qu'on croit en Cour pour affaires, est souvent en Ville pour ses plaisirs. (Acte 2, scène 3, THÉRÈSE)
Voici une aventure de bal. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
Oh, par la ventrebleu ! (Acte 2, scène 4, LE MAJOR)
Le dos au feu, le ventre à table, v.63 (Acte 2, scène 5, LE MAJOR)
À venir souvent ici. v.104 (Acte 2, scène 5, THÉRÈSE)
À venir souvent ici. v.108 (Acte 2, scène 5, TH?R?SE)

LE BON SOLDAT (1718)

Il me fera finir mes jours en un couvent ; v.32 (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Voilà votre inventaire v.78 (Acte 1, scène 5, LE CLERC)
Palsanguenne al en tient la chienne est éventrée, v.90 (Acte 1, scène 5, JOCRISSE)
Non, non, il est souvent des diables favorables, v.397 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
Qui dans certains périls se trouvent secourables ; v.398 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)

LE PRIX DE L'ARQUEBUSE (1717)

Serait-ce point que ton père par aventure te voudrait de son côté donner quelque amoureux, dont tu ne serais pas amoureuse, toi ? (Acte 1, scène 1, NANETTE)
Je veux être comme ma mère, moi, ce sont les miennes, et les filles doivent tenir des mères, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 9, SOPHIE)
Mais cela est heureux, le choix est bon, nos mariages ne peuvent manquer de réussir. (Acte 1, scène 10, MADEMOISELLE GIRAUT)
Vous, ma nièce et ma fille, deux impertinentes que je renfermerai dans un Couvent, pas plus tard que demain. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR MARTIN)
Je m'y suis fait des jaloux ; ils ont écrit au Bureau contre moi, un mauvais vent a soufflé sur mon affaire ; et l'on m'a cassé comme un verre. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
Ah, ventre ! (Acte 1, scène 19, BARBALOU)
Ne serait-ce pas mon frère, par aventure, le Chevalier de Bracassak ? (Acte 1, scène 21, MADEMOISELLE BRACASSAK)

LES FÃŠTES NOCTUNES DU COURS (1714)

Ce n'est pas tout, je m'avisai sur la fin du Bal de dérober une mule à chaque Dame qui s'avisa de s'asseoir sur l'herbe : je les rendis ensuite à l'aventure ; la plupart des chaussures furent dépareillées, et cela fit faire de mauvaises conjectures. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
Oui ; quand les Amours ont embarqué une affaire, nous achevons souvent de la conduire à sa perfection. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
On est souvent la dupe de ce qu'on y croit voir : prenez-y garde. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Et qui le trouble souvent, au contraire. (Acte 1, scène 5, MARTON)
Il cherche ici quelque aventure. (Acte 1, scène 12, MARTON)
Trois années de soins, d'assiduités, et de complaisance doivent tenir lieu de quelque mérite. (Acte 1, scène 14, DESMINUTES)
Je ne serai pas la dupe de l'aventure. (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
Par quelle heureuse aventure, Madame ?? (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
Qui voit souvent plus qu'il ne pense. v.86 (Acte 1, scène 22, TOUS)
Changent souvent de favoris, v.90 (Acte 1, scène 22, TOUS)
Souvent v.166 (Acte 1, scène 22, TOUS)

LA FEMME D'INTRIGUES. (1692)

Par aventure. (Acte 1, scène 2, GABRILLON)
Ne connaissons-nous pas tout le monde par aventure, nous autres ? (Acte 1, scène 2, GABRILLON)
Il dit qu'il a trouvé l'invention de faire un fard à l'épreuve de tous les temps, des couleurs qui une fois appliquées sur un teint, durent autant que la peau : en un mot, il se vante d'avoir trouvé le secret de farder un visage à fresque. (Acte 1, scène 3, GABRILLON)
Après quelques aventures, mon bonheur m'a conduit ici, et il ne s'est peut-être pas encore vu un plus beau coup de sympathie. (Acte 2, scène 1, LA RAMEE)
Les gens qui ne vivent que par machines sont sujets à ces sortes de revers. (Acte 2, scène 1, LA RAMEE)
Il me dit tous les jours qu'il ne la voit point ; et sous prétexte d'aller jouer, ils se trouvent ensemble dans le logis en question. (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
Oui, je te jure ; mon dessein n'est que de décrier ma rivale par une aventure d'éclat. (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
Il faut aller chez cette Marquise, qui mourut dernièrement ; savoir quand on fera son inventaire. (Acte 3, scène 1, MADAME THIBAUT)
Il n'y aura point de toilette à cet inventaire, Madame, et je ne crois pas qu'on fasse d'inventaire, même. (Acte 3, scène 1, GABRILLON)
Je ne sais quelle inclination elle a pour ces sortes de nippes ; mais elle achète plus d'écharpes et de noeuds d'épée, que de coiffes et d'éventails. (Acte 3, scène 5, MADAME THIBAUT)
Souvent on a pour rien ce qu'un autre a payé bien cher. (Acte 3, scène 12, LE MARQUIS)
Vous le savez ; qui ne peut mais de la fécondité, en a souvent tout l'embarras. (Acte 4, scène 1, LE MAÎTRE À CHANTER)
Si l'on ne prenait que chez un Marchand, on serait souvent mal assortie. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
De concert avec mes parents, vous voulez me contraindre à retourner avec vous, ou à choisir un Couvent. (Acte 4, scène 9, MÉLINDE)
Celui du Couvent : votre bizarrerie et vos travers ne me permettent pas d'en douter. (Acte 4, scène 9, DORANTE)
Que je lui pardonne en faveur de l'invention. (Acte 4, scène 12, GABRILLON)
Ta Maîtresse n'a pas lieu de se plaindre ; elle fait souvent de bonnes affaires, dont tous les revenants-bons sont pour elle. (Acte 4, scène 14, MONSIEUR DUBOIS)
Ces gens-là savent tous les tenants et les aboutissants des familles ; et nous en tirons de bons services. (Acte 4, scène 14, GABRILLON)
Les auteurs modernes en dramatique, tant en vers qu'en prose, de votre bonne ville et faubourgs de Paris, remontrent très humblement à votre Majesté, qu'après avoir sacrifié leurs soins et leurs veilles aux plaisirs du public, leur zèle serait tous les jours mal reconnu par certains quidams indiscrets, qui, de dessein prémédité, se transportant journellement ès lieux où lesdits auteurs font représenter leurs ouvrages, avec des appeaux à perdrix, des sifflets de chaudronniers, et autres armes offensives, desquelles ils chargent sans miséricorde tout ce qui ose paraître d'Acteurs sur le Théâtre, avec tant de fureur, que le comédien le plus intrépide est souvent contraint de lâcher pied, et de se retirer le coeur meurtri et tout percé de coups de sifflets. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
Voilà deux aventures dans le même jour qui me le persuadent : et malgré le désordre de mes affaires, j'aime mieux vivre garçon mal aisé, que d'avoir obligation à une vieille ou à une coquette. (Acte 5, scène 11, ÉRASTE)
Quelles aventures ! (Acte 5, scène 15, MADAME THIBAUT)

LE DIABLE BOITEUX (1707)

C'est moi, qui, en rentrant par la force des conjurations de votre mari, dans la fiole dont Cléophas m'avait tiré, passai par votre appartement, et qui a depuis fâché tant le Magicien, et qui est cause de l'aventure à qui je dois ma liberté. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
La reconnaissance n'est pas leur faible ; ils trouvent qu'il y a quelque chose de trop bas là-dedans pour les caractères des héros qu'ils représentent : mais à cela près ; ce sont de bonnes personnes, et il n'y a presque pas un de ces cerveaux-là que je ne gouverne. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Le devoir, la société, la bienséance rendent les lieux de spectacle très respectables, et ceux qui s'y trouvent, le deviennent, quand ils ne le seraient pas par eux-mêmes. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Quoique je ne sois pas le Diable de la Chicane, je fais les affaires de la maison, j'y suis connu, j'y régente ; et cette intrigue, où je me trouverai mêlé par-ci par-là moi-même de la petite Comédie qu'on leur a promise : nous feront ensuite entre nous trois, nos réflexions en musique sur l'aventure ; et nous verrons de quoi vous êtes capables, et si vous profiterez bien du livre du monde, dont je vous ferai voir de temps en temps quelques nouveaux chapitres, avez-les figures. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
Hé bien, qu'on leur dise qu'ils achèvent. (Acte 1, scène 15, MADAME LUCAS)
Voilà deux Diables qui le suivent, ma tante. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Dans vos galantes aventures, v.44 (Acte 1, scène 19, THÉRÈSE)
Vous suivent toujours. v.46 (Acte 1, scène 19, TH?R?SE)
Vient ici souvent v.79 (Acte 1, scène 19, LÉPINE)

LES FÉES. (1699)

Et, s'il se peut, qu'ils la suivent toujours. v.56 (Acte 1, scène 1, LA FÉE)
S'ils savent enchanter les sens, v.90 (Acte 1, scène 3, LA FÉE DES PLAISIRS)
Quand les charmes ne peuvent nuire, v.94 (Acte 1, scène 3, LE SUIVANT DE LA FÉE)
Seriez-vous amoureux de moi, de moi, par aventure ? (Acte 2, scène 4, FINETTE)
Si ce partage eût dépendu de vous et de moi, nous aurions changé d'occupation quelquefois, et je vous ai souvent souhaité à ma place, pour avoir l'agrément d'être à la vôtre. (Acte 2, scène 8, CLEONIDE)
Vos amants doivent se rendre incessamment ici ; je ne les connais pas mais vos tantes les Fées qui m'en ont parlé, en disent beaucoup de bien, elles les ont choisis comme pour elles. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
On aimait dans ce temps-là comme on n'aime à cette heure ; une beauté fière est souvent la dupe de l'aventure. (Acte 2, scène 11, FINETTE)
Ah, Seigneur, ne vous laissez point surprendre, vos premiers sentiments ne peuvent être que justes, ils sont sacrés pour moi, et je suis incapable d'en avoir d'autres. (Acte 2, scène 14, INEGILDE)
Quelle aventure ! (Acte 4, scène 2, CLEONIDE)
Par ma foi, toutes ces Fées-là sont des extravagantes qui ne servent qu'à faire enrager des gens raisonnables. (Acte 4, scène 4, ASTUR)
Je n'osais me flatter, Madame, que la Princesse Inégilde pût recevoir favorablement les offres de ma foi : mais des voeux formés par votre ordre, ne peuvent manquer d'être écoutés ; et dans l'espoir que vous me donnez d'apprendre les lieux où elle est, vous voulez bien, Seigneur, me permettre de chercher à lui rendre au plutôt un hommage qu'on se fait un plaisir de lui renvoyer. (Acte 4, scène 5, ZIRPHILIN)
Si vous avez la faiblesse d'en prendre, évitez du moins la confusion de le laisser paraître, et je prendrai soin de l'adoucir ; attendez avec tranquillité je dénouement de l'aventure, je vais travailler à le rendre heureux, et vous pouvez compter par avance qu'il vous fournira de nouveaux plaisirs. (Acte 4, scène 8, BLANDONIE)
Vos discours et vos réflexions n'ont rien du tout qui m'intéresse ; je connais, comme vous, le ridicule de cette morale, si sévère en apparence, et si relâchée quelquefois en secret ; et plus j'ai d'horreur pour ceux qui la suivent, plus j'ai de goût pour la vraie sagesse. (Acte 4, scène 10, CLEONIDE)
Cercar ventura : v.236 (Acte 4, scène 15, UN SUIVANT DE L'ÎLE)
Ma se da vento infido v.237 (Acte 4, scène 15, UN SUIVANT DE L'?LE)
Cercar ventura. v.242 (Acte 4, scène 15, UN SUIVANT DE L'?LE)

COLIN-MAILLARD. (1701)

(Ah ! Non à propos, elle était au Couvent.) (Acte 1, scène 1, MONSIEUR ROBINOT)
Oh non, en vérité, je suis trop innocente, et ce n'est que faute d'invention que le jour des fiançailles de Mathurin et de moi, ce pauvre Blaise, qui m'était comme ça venu parler en cachette, fut enfermé plus de vingt-quatre heures chez ma mère, dans la grande huche, pendant que tout le monde était à table : il pensa étouffer, et il ne put sortir que le lendemain. (Acte 1, scène 3, CLAUDINE)
Ils savent bien aimer, Madame, ces Officiers de garnison, ils n'ont que cela à faire. (Acte 1, scène 8, LÉPINE)
Avant qu'Angélique se soit déterminée à ce que vous souhaitez, il se passera du temps peut-être ; de jeunes filles qui sortent du Couvent sont un peu barguigneuses quelquefois. (Acte 1, scène 14, LÉPINE)
Que la retraite ou le Couvent : v.26 (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)
Tel échappe souvent que l'on croit tenir bien ; v.33 (Acte 1, scène 23, MATHURIN)
Qui souvent ne tient rien. v.36 (Acte 1, scène 23, MATHURIN)
Allons, cousin, ils ne peuvent être loin ; courons après ; et si je les attrape, je ferai tout pendre, et ma tante et Angélique même. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR ROBINOT)
Seraient au couvent tôt ou tard, v.50 (Acte 1, scène 25, MATHURIN)

LES BOURGEOISES Ã€ LA MODE. (1692)

C'est une femme de fort bon sens, qui aime les plaisirs, le jeu, la compagnie ; et depuis deux jours je me suis avisé de lui persuader de donner à jouer chez elle, pour avoir occasion d'y venir plus souvent, et pouvoir entretenir Mariane de la tendresse que j'ai pour elle. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Cela ne gâtera rien ; au contraire, si elles ont de l'esprit elles profiteront de l'aventure. Et pour vous, si vous en usez bien avec moi, car enfin nous nous connaissons, comme vous savez, il faut être bon Prince, nous tâcherons de vous faire épouser Mariane. Voici déjà votre billet que je vais donner à Lisette. Allez cependant songer à faire taire le petit homme aux deux mille écus. Dans l'affaire où vous allez vous embarquer, une aventure d'éclat ne vaudrait pas le diable. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Nous ne sortirons plus si souvent, et dans le fond il y a quelque raison. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Dans la plupart des aventures dont je me mêle, je suis presque toujours pour et contre ; je conduis quelquefois les affaires de la femme et celles du mari tout ensemble. (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
C'est ce que je ne sais point ; Mariane n'est pas souvent avec sa belle-mère. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Il ne me pouvait arriver une aventure plus cruelle. (Acte 1, scène 10, LE CHEVALIER)
Hé, mort de ma vie, prenez toujours à bon compte ; il n'y a point de mal à ruiner un mari, quand sa femme partage les revenants-bons de l'aventure. (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Je ne sais ; je ne les mérite point, je ne les écoute pas le plus souvent, et quand il a bien longtemps parlé, il me semble que je n'ai entendu que du bruit. (Acte 2, scène 7, MARIANE)
Comment ton Maître et ta Maîtresse vivent-ils ensemble, dis ? (Acte 2, scène 8, MONSIEUR GRIFFARD)
Ils sont souvent fâchés, se querellent souvent, se raccommodent peu, boudent sans cesse, se plaignent fort l'un de l'autre, et peut-être ont tous deux raison. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Mais, descendez par ce petit escalier, et allez prendre l'air : vous en avez besoin, sur ma parole. Ma foi, l'aventure est trop drôle, et voilà de quoi bien divertir nos faiseuses d'emplettes. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
À l'heure qu'il est, elle n'est pas éveillée le plus souvent. (Acte 2, scène 9, MONSIEUR SIMON)
Il y a de la fatalité dans cette aventure. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
Souffrir par aventure... (Acte 3, scène 6, FRONTIN)
Je veux avoir moi-même le plaisir de lui conter cette aventure. (Acte 3, scène 7, ANGÉLIQUE)
Entrez aussi dans mon cabinet, je veux vous faire part d'une aventure que vous trouverez divertissante. (Acte 4, scène 3, ANGÉLIQUE)
Mais vraiment, cela est trop juste, Madame : Monsieur est le meilleur homme du monde, il aime à vous voir, donnez-lui cette petite satisfaction le plus souvent qu'il vous sera possible. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Elle s'endette de tous côtés, les Marchands crient pour être payés ; si cela vient aux oreilles du mari, c'est une femme perdue, et pour se mettre à couvert de ses emportements, elle est dans la résolution de s'aller jeter dans un Couvent, et de n'en sortir de sa vie. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
Dans un Couvent, Frontin ? (Acte 4, scène 9, MONSIEUR SIMON)
Dans un Couvent. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
Quand une jolie femme est embarrassée, et qu'elle ne sait comment sortir d'affaires, elle a toujours recours au Couvent ; c'est encore une règle. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
Si l'on recevait souvent de vos visites, on deviendrait volontiers plus sédentaire, Monsieur. (Acte 5, scène 4, ANGÉLIQUE)
Quelque inventaire ? (Acte 5, scène 7, LISETTE)
Il me fallait cette aventure pour me détromper. (Acte 5, scène 11, MONSIEUR SIMON)
Madame, Madame, vous allez faire un bon conte de cette aventure ; mais... (Acte 5, scène 13, MONSIEUR SIMON)

LA PARISIENNE (1691)

En visitant une parente dans un couvent, j'y trouve une jeune personne toute charmante, toute adorable. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Désespéré de ses refus, je me jette aux pieds d'Angélique ; je la conjure de sortir du Couvent, et de m'épouser en secret. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Sa mère l'a fait sortir du couvent, sans lui donner le temps de dire adieu à personne. (Acte 1, scène 3, L'OLIVE)
Pour moi, je retourne au couvent m'informer de quelques particularités que mon trouble et mon chagrin m'ont fait oublier de demander. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
Non, tout le monde lui déplaît, c'est le couvent qui lui a donné cet engourdissement de coeur et d'esprit, qui la rend insensible à tout. (Acte 1, scène 7, OLIMPE)
Cela ne se peut ; elle sort d'un Couvent où elle n'a jamais vu personne. (Acte 1, scène 7, OLIMPE)
Sa soeur était avec moi dans le couvent, et c'est elle qui m'a priée de l'aimer. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Quelle aventure met le comble à mon désespoir. (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Attendez, attendez, Monsieur, ne nous pressons point de nous désespérer, l'aventure n'est point si terrible. (Acte 1, scène 9, L'OLIVE)
Ils ne peuvent sortir sans mon congé. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
Le vent du bureau n'est pas bon pour moi ; mais je n'ai qu'une bagatelle à représenter. (Acte 1, scène 14, LISIMON)
Qu'est-ce que cette aventure, Lisette ? (Acte 1, scène 16, DAMIS)
Vous croiriez n'être que le mari de Mademoiselle, et vous seriez le plus souvent son Maître de cérémonies. (Acte 1, scène 23, LISETTE)

L'Ã‰TÃ‰ DES COQUETTES (1754)

Oui, je me plais à connaître les différents effets que l'esprit et la beauté peuvent produire dans les coeurs. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
Tout à fait mal, et je suis à la veille de prendre le parti d'un couvent. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Le parti d'un couvent ! (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
Assurément ; et par toutes sortes de raisons, les Chevaliers de Ce Sol Ut doivent l'emporter sur les Marquis de la Capriole. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
J'en retiens un ; mais je veux savoir l'aventure. (Acte 1, scène 7, CIDALISE)
Ils se font un honneur de le publier, et ne trouvent que trop de personnes qui par bêtise, ou par malice, sont faciles à persuader. (Acte 1, scène 8, CIDALISE)
Fort bien, et l'on verra peut-être un tableau d'almanach de tes aventures. (Acte 1, scène 8, CIDALISE)
J'en serais ravie, cela me ferait connaître à mille gens qui ne savent pas que je suis au monde. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Il est entré mystérieusement dans votre cabinet, comme si je l'eusse fait cacher, et je gagerais qu'il prend ceci pour une aventure dans les formes. (Acte 1, scène 9, LISETTE)
On se repent quelquefois de s'en être défait ; et c'est une espèce de housse, qui fait souvent honneur à ceux qui la portent. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
C'est quelque aventure d'été, ma mignonne. (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Vous l'aviez deviné, Madame, c'est une aventure d'été. (Acte 1, scène 20, ANGÉLIQUE)
Je commence à démêler l'aventure. (Acte 1, scène 21, LISETTE)
Ma foi, vivent les femmes de bon esprit, toutes les saisons leur sont égales, rien ne les chagrine, et jusqu'aux moindres bagatelles tout leur fait plaisir. (Acte 1, scène 25, LISETTE)

LA DÃ‰SOLATION DES JOUEUSES (1687)

Votre mère n'a eu que cette visée, vos affaires vont le mieux du monde, et voilà les espérances et la fortune du chevalier bien aventurées. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Le chevalier est un aventurier tombé des nues, qu'on ne connaît que par le jeu, et qui ne subsistait que par là, comme mille autres de son caractère. (Acte 1, scène 2, DORANTE)
Tantôt on est marquis, tantôt chevalier, puis marchand, quelquefois abbé, financier souvent. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
C'est un Pérou que l'Angleterre pour un habile joueur comme le chevalier, et la plupart de ces gros milords ne savent que faire de leur argent. (Acte 1, scène 5, DORIMÈNE)
Ventrebleu Madame, on y jouera comme de coutume, ou je ferai beau bruit pour mon argent, je vous en réponds. (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Oui, Madame, pour mon argent ; morbleu je suis ruiné si l'on ne joue ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Où diantre pourrais-je rattraper tous ceux qui me doivent ? (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Ventrebleu Madame, qu'on donne des cartes, ou je tuerai quelqu'un, vous dis-je encore une fois. (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
Faites-vous payer comme il vous plaira, et prenez-vous de vos chagrins à ceux qui vous doivent. (Acte 1, scène 9, DORIMÈNE)
Pour cela, Madame, il est sûr qu'on n'a point fait assez de réflexion sur les inconvénients qui en peuvent arriver. (Acte 1, scène 10, ÉRASTE)
Bon, Madame, ce n'est rien encore que ce qu'il dit là ; mais tous les jeunes gens de Paris, que voilà désoeuvrés à l'heure qu'il est, qui ne savent où donner de la tête. (Acte 1, scène 10, DORIMÈNE)
Oui, pourquoi ne pas défendre ces vilains jeux d'exercice, oui l'on gagne le plus souvent de bonnes pleurésies, et où l'on court risque à tous moments d'être assommé de quelques coups de balle ? (Acte 1, scène 11, LISETTE)

L'IMPROMPTU DE LIVRY (1705)

Si j'eus pris par aventure v.84 (Acte 1, scène 7, LUCAS)
En trouvent à revendre. v.102 (Acte 1, scène 9, LUCAS)

LA FOIRE DE BESONS (1694)

J'ai deux jeunes garçons au Collège, une petite nièce dans le Couvent. (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANTE)
Le chagrin et l'argent comptant ne doivent point loger en même maison. (Acte 1, scène 4, FROSINE)
Et toi, tu n'as point trouvé d'aventure ? (Acte 1, scène 5, MADAME ARGANTE)
Vous n'avez rien à craindre, et vous êtes à couvert d'aventures ; ce n'est qu'à de petites étourdies comme Madame, à qui on ose faire des propositions si téméraires. (Acte 1, scène 5, FROSINE)
Qu'il soit à Paris, ou à la campagne, il ne passe point de jour sans quelque aventure. (Acte 1, scène 6, FROSINE)
Il y a toujours des coups donnés dans le dénouement des aventures de Monsieur Guillemin ; ce sont des espèces de Tragédies. (Acte 1, scène 6, FROSINE)
Vous êtes souvent lésé dans la catastrophe. (Acte 1, scène 6, FROSINE)
Et l'aventure qui vient d'arriver... (Acte 1, scène 7, L'ABBÉ)
Quelle aventure ? (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GUILLEMIN)
Ventrebleu, c'est ma femme ? (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GUILLEMIN)
Cette aventure est plus triste que la première. (Acte 1, scène 10, CIDALISE)
Oui, je demeure chez lui depuis que ma tante a fait semblant de me mener au Couvent. (Acte 1, scène 16, CHOUCHETTE)
Hé là, là, ma bonne, ne faites point tant la fière, on vous gronde aussi souvent que moi ; et pour être plus grande, vous n'êtes pas plus exempte de la mauvaise humeur de mon parrain. (Acte 1, scène 17, CHOUCHETTE)
Très souvent. (Acte 1, scène 18, FROSINE)
C'est vous qui me l'avez fait connaître dans le Couvent où nous étions, vous l'avez vu me jurer cent fois qu'il m'aimerait toute sa vie, je lui ai promis de l'aimer éternellement, je lui tiendrai parole, je vous assure. (Acte 1, scène 19, MARIANE)
Parce qu'ils savent les anciennes lois, ils prétendent que leurs femmes les observent, et ils ne veulent point souffrir qu'elles suivent la nouvelle coutume ; cela est bien ridicule. (Acte 1, scène 22, FROSINE)
Je ne médis de personne : mais pendant que Monsieur le Commissaire courait la ville pour faire observer les Ordonnances de la Police, Madame sa femme tenait chez elle une petite police, où Monsieur le Commissaire lui-même était souvent condamné à l'amende. (Acte 1, scène 22, FROSINE)
Bien souvent la plus jeune fille v.41 (Acte 1, scène 28, L'OLIVE)
Trouve souvent en son chemin v.73 (Acte 1, scène 28, L'OLIVE)

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LA FOIRE SAINT GERMAIN (1697)

Les sots doivent tribut aux gens d'esprit, et il y a dans cette Foire Saint-Germain quantité de Bureaux où je me fais payer mes rentes. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
L'impertinence que j'ai eue d'adhérer à vis sottises : mais cela ne m'arrive pas souvent. (Acte 1, scène 9, MADAME ISAAC)
On a prévenu ses ordres ; l'espion pris en a été quitte pour quelques soufflets, quelques coups de pied dans le ventre, quelques croquignoles ; le tout pour lui apprendre à écouter aux portes. (Acte 1, scène 18, LORANGE)
Oui, Monsieur, je l'ai rencontrée par hasard ; elle a fait fortune par aventure, il se trouve, par accident, que ces deux Princesses ont le même adorateur de leurs charmes. (Acte 1, scène 23, LE BRETON)
Par quelle aventure... (Acte 1, scène 26, CLITANDRE)
Vous deviez aller aux prisonniers, Madame ; par quelle aventure... (Acte 1, scène 28, ANGÉLIQUE)
Souvent les moins belles v.29 (Acte 1, scène 31, LE BRETON)

LES VENDANGES DE SURESNES (1695)

Et si par aventure le jeune drôle vient à grimper aussi de son côté : enfin, que fait-on, la poire est mûre, et les enfants de Paris aimons bian le fruit, prenez-y garde. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
Le vent de bise a soufflé cette nuit, et ça ne vaut rian, ni pour la veigne, ni pour les amoureux. (Acte 1, scène 2, THIBAUT)
Aurais-je tort de vouloir le disposer à nous rendre service, et de chercher les moyens de vous voir plus souvent ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Hé, pargué la vela, c'est queuque bon vent qui nous la souffle envars ici, j'aurons bonne issue. (Acte 1, scène 4, THIBAUT)
Quand il vous plaira, vous qui avez tant d'aventures, vous vous acquitterez de la même manière, de huit cent francs que vous me redevez. (Acte 1, scène 7, LORANGE)
Allons, ventrebleu, cousin, allons boire ensemble. (Acte 1, scène 12, CLITANDRE)
Oui, par la ventrebleu, tu m'épouseras ? (Acte 1, scène 22, LORANGE)
Ces Dieux se servent tour à tour, v.37 (Acte 1, scène 25, MADAME DESMARTINS)
Bien, souvent Bacchus avance v.39 (Acte 1, scène 25, MADAME DESMARTINS)

LA MÉTEMPSYCOSE (1718)

De Jupiter retracer l'aventure ? v.171 (Acte 1, scène 3, THALIE)
Doivent à leurs autels. v.202 (Acte 1, scène 4, THALIE)
Hé ! N'ai-je pas, moi-même, embarqué l'aventure ? v.278 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
Je me hâtais de brusque l'aventure, v.297 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
Assez souvent ensemble ils ont querelle : v.585 (Acte 2, scène 7, JUNON)
Fait assez souvent faire aux Dieux v.1237 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
Ne peuvent-ils souffrir qu'à mes voeux les plus doux ? v.1287 (Acte 3, scène 10, PHILÈNE)
De concert, s'il se peut, démêlons l'aventure ; v.1325 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Ce sont des Enchanteurs, mon enfant, qui vous servent, v.1363 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
Ou quelques Dieux qui vous observent : v.1364 (Acte 3, scène 11, M?ROPE)
D'autant que souvent on hasarde? v.1545 (Acte 4, scène 2, FAUNUS)
J'en conviens, l'aventure a de quoi vous surprendre. v.1558 (Acte 5, scène 1, MERCURE)
Les cadets pour un autre enlèvent ma maîtresse ; v.1754 (Acte 5, scène 5, JUPITER)
Il a souvent bien servi ma tendresse, v.1756 (Acte 5, scène 5, JUPITER)
Ont grand tort dans cette aventure, v.1804 (Acte 5, scène 6, MERCURE)
En reçoivent le châtiment. v.1849 (Acte 5, scène 8, VÉNUS)
Doivent-ils seuls portés la peine, v.1865 (Acte 5, scène 9, VÉNUS)
Je crains fort entre nous la fin de l'aventure. v.1879 (Acte 5, scène 9, FAUNUS)
Vénus et les Amours doivent plus qu'on ne pense. v.1929 (Acte 5, scène 10, L'INCONSTANCE)

LA LOTERIE (1697)

Mais ventregué c'est folie que de me bailler ça. (Acte 1, scène 11, BASTIEN)
Il arrivera quelqu'aventure.... (Acte 1, scène 17, MADAME-LA-CLOCHE)
Ils ne savent donc pas que tu es du logis apparemment. (Acte 1, scène 17, SBRIGANY)
Que sais-je moi, c'est une nouvelle manière qu'on a imaginée de faire des présents, et de les recevoir avec bienséance, et Monsieur votre père a le profit et le mérite de l'invention. (Acte 1, scène 20, LISETTE)
Ne vous en alarmez point plus que de raison, les choses peuvent changer, et pourvu que vous pariassiez dans ces commencements soumise et obéissante à ce que souhaite votre père, et que votre amant ne se rebute point.... (Acte 1, scène 20, LISETTE)
Il m'en faut l'intérêt, vous avez de la conscience, vous le gardez depuis six mois : je prendrai sans voir, faites bien les choses, deux livres de tabac pour moi, un éventail pour la fille de mon auberge, et de vos mouchoirs pour le Toulousain mon valet de chambre. (Acte 1, scène 24, LE-GASCON)
Il faut bien prendre garde que cette aventure ne se sache point. (Acte 1, scène 24, SBRIGANY)

LE MOULIN DE JAVELLE. (1692)

Hé, ventreguié, Maîtresse, alles me voulont débaucher. (Acte 1, scène 9, NICOLAS)
Tatigué, Jeanne c'est une bonne pratique que ce Monsieur Grimaudin, on ne dirait pas qu'il y touche devant le monde : mais je le voyons pourtant bian souvent cheux nous, à ce qu'il me semble. (Acte 1, scène 13, BERTRAND)
Alles veniont pour souper ici, alles trouvent la place prise, alles vont s'en plaindre : mais je ne pouvons mais de ça, nous autres. (Acte 1, scène 17, BERTRAND)
Nous méritons bien cela, Monsieur Simonneau : des maris de bon sens ne doivent jamais aller où ils peuvent rencontrer leurs femmes. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR DU ROLLET)
Ne doivent-ils pas savoir qu'il y a des endroits autour de Paris qui ne sont pas faits pour eux ? (Acte 1, scène 20, MADAME BERTRAND)
C'est ly qui a mis le feu sous le ventre à l'autre, et ils s'en allont tous deux bellement vous charcher à Paris, pour vous quereller plus à leur aise. (Acte 1, scène 23, BERTRAND)
Nous n'avons qu'à nous tranquilliser ici pendant que leur premier mouvement passera : plus l'aventure sera forte, et plus ils craindront qu'elle éclate. (Acte 1, scène 23, MADAME SIMONNEAU)
Ces sortes de personnes-là sont si peu polies, et savent si peu vivre? (Acte 1, scène 32, LE CHEVALIER)
Que les gens de qualité savent bien faire les choses ! (Acte 1, scène 32, LA COMTESSE)
Mais ne craignez-vous point les affaires qui peuvent arriver? (Acte 1, scène 33, LA COMTESSE)
Comment, ventrebleu, c'est Lolive ! (Acte 1, scène 37, GANIVET)
Et vivent les parties du Moulin de Javelle ; les mariages s'y font sans cérémonie. (Acte 1, scène 37, FINETTE)

LA GAZETTE (1693)

On défend l'été leurs frontières, peuvent-ils trop payer l'hiver toutes les peines que se donnent les gens de qualités ? (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Je ne sais, Monsieur : mais depuis quelques jours vous venez bien souvent au Palais. (Acte 1, scène 1, LE SERGENT)
La nouvelle qui vous alarme n'est encore que dans la Gazette, et la Gazette est souvent menteuse. (Acte 1, scène 8, FILLON)
Je suis seule ; il vient ici du monde à tout moment, pour cette Gazette surtout ; s'ils ne trouvent personne ? (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Je viens de la mettre dans un Couvent. (Acte 1, scène 13, ROBICHON)
Il me semble que je l'ai vu souvent rôder autour d'ici. (Acte 1, scène 15, LE CHEVALIER)
Oui, pour se gausser des uns et des autres, il invente je ne sais combien de sottises qui font rire. (Acte 1, scène 18, CHONCHON)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1704)

Et c'est assez souvent l'orage v.128 (Acte 1, scène 3, UN HABITANT)
Et mes traits aujourd'hui doivent triompher d'elle. v.147 (Acte 1, scène 4, L'AMOUR)
Tremble assez souvent de le dire ; v.186 (Acte 2, scène 1, UN MUSICIEN)
Et souvent et beaucoup ; mais toi, v.217 (Acte 2, scène 2, LE FAUNE)
Suivent d'Amour les douces lois, v.339 (Acte 2, scène 3, UN FAUNE)
Souvent dans l'âme v.362 (Acte 2, scène 3, PAN)
Il vento dei sospiri v.378 (Acte 2, scène 4, UNE MUSICIENNE)
E' dolce il vento v.380 (Acte 2, scène 4, UNE MUSICIENNE)
Ah, qu'on est heureux de servir des Princesses qui reçoivent avec tant de bonté les soins qu'on prend de leur être agréable ! Je vais faire venir tout mon monde, et... (Acte 2, scène 4, CLITIDAS)
Qui souvent des heureux amants, v.402 (Acte 2, scène 4, L'AMOUR)
Époux entre eux doivent laisser v.424 (Acte 2, scène 5, LE MARIÉ)
Que trop d'amants suivent vos pas ; v.447 (Acte 2, scène 5, LE MARI?)
Qui fait souvent trop de fracas. v.453 (Acte 2, scène 5, LE MARI?)
On a souvent l'avantage v.471 (Acte 2, scène 5, LE MARI?)

CÉPHALE ET PROCRIS (1711)

Un Acteur bien souvent ne saurait pas suffire v.71 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Ridicules, et souvent tels v.132 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Qui savent décider par de justes raisons, v.207 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Par qui le vrai plaisir est fort souvent gâté. v.272 (Acte 2, scène 1, PHILACTE)
Moi, de cette étrange aventure v.417 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Embarrasse souvent très fort. v.597 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
Toujours notre aventure est présente à ses yeux. v.603 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
Que dois-je présumer d'une telle aventure ? v.613 (Acte 2, scène 3, CÉPHALE)
L'un ni l'autre ne peuvent l'être ; v.759 (Acte 2, scène 5, CÉPHALE)
Hé ! Par quelle heureuse aventure v.892 (Acte 2, scène 7, L'AURORE)
L'aventure n'a rien qui soit fort gracieux, v.894 (Acte 2, scène 7, MERCURE)
L'esprit doit venir inventif quand on aime. v.1087 (Acte 2, scène 7, CALLITÉE)
L'agrément de cette aventure, v.1137 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
Que servent les talents à moins qu'on en profite ? v.1168 (Acte 3, scène 1, PHILACTE)
À l'abri des discours que le mensonge invente, v.1363 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
Et pour moi de cette aventure v.1537 (Acte 3, scène 7, DIONE)
Que souvent des plaisirs la tristesse est suivie, v.1797 (Acte 3, scène 10, DIONE)
Mais enfin de cette aventure v.2056 (Acte 4, scène 1, CALLITÉE)
Les vôtres doivent lui causer v.2059 (Acte 4, scène 1, CALLIT?E)
Se mènent bien souvent la plupart des affaires ; v.2113 (Acte 4, scène 1, CALLITÉE)
Ou par malice, ou par prévention, v.2223 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
Si je puis sainement juger de l'aventure, v.2331 (Acte 4, scène 5, CALLITÉE)
Toujours à table, ou près de quelque aventurière. v.2402 (Acte 4, scène 8, DIONE)

MADAME ARTUS (1707)

À notre appartement, quel bon vent te conduit ? v.13 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Parce qu'on l'a rossé pour certaine aventure? v.223 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Voyez-vous, cela part de mon invention ; v.234 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Fort souvent. v.310 (Acte 1, scène 5, DORANTE)
Et depuis mon absence elle est dans un Couvent. v.317 (Acte 1, scène 5, DORANTE)
Écoutez, vous avez une tête à l'évent, v.318 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
Il arrive souvent par hasard, que fait-on ? v.345 (Acte 1, scène 6, MERLIN)
Cette Madame Artus est une aventurière, v.436 (Acte 2, scène 2, CÉLIDE)
D'écarter de céans certaine aventurière, v.531 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Changeant souvent de nom, tantôt prude, ou coquette, v.563 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
Parfois en brocard d'or, souvent en linge uni, v.565 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
Qui depuis quelque temps nous rend souvent visite? v.635 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
Ma mère et lui m'avaient mise dans un Couvent. v.1042 (Acte 3, scène 13, MASSINE)
Par où l'on mande ici qu'elle est dans un Couvent, v.1109 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
Errer en chevaliers, et forcer un Couvent, v.1117 (Acte 4, scène 2, MERLIN)
Quelle tête à l'évent ? v.1118 (Acte 4, scène 2, CÉLIDE)
Elle tient cependant le noeud de l'aventure ; v.1180 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Mais enfin il faut voir la fin de l'aventure. v.1224 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Nous faisons fort souvent des affaires ensemble. v.1236 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
Et souvent la vertu ne règne qu'au dehors : v.1362 (Acte 4, scène 7, MADAME ARTUS)
Quoique jeune, souvent on a vécu longtemps. v.1394 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
Du tout qu'elle vous fait, doivent être le prix. v.1734 (Acte 5, scène 15, MONSIEUR LUDET)

LE MARI RETROUVÃ‰ (1698)

Cette aventure-là fera du bruit, Monsieur, et ce sera un des beaux chapitres du roman de votre vie. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
Si par aventure je n'avais plus personne qui m'obstinît, je changerais d'avis, peut-être, et vous en enrageriais, je gage. (Acte 1, scène 2, JULIENNE)
Vous avez le coeur trop bon pour cela, assurément : mais si le mal était arrivé par aventure ? (Acte 1, scène 3, LÉPINE)
N'auriez-vous point vu la commère Julienne, par aventure ? (Acte 1, scène 5, MADAME AGATHE)
Et vous itou, Monsieur de Lépeine, vous en parlez souvent : y auriais-vous queuque connaissance ? (Acte 1, scène 7, JULIEN)
La meine est inventée : mais, chut. (Acte 1, scène 8, JULIEN)
Ah, ventrebleu ! (Acte 1, scène 10, LÉPINE)
Et moi itou ; mais aidez-nous à la dire, Monsieu le Bailli ; car ce que je savons nous, vous qui savez tout, vous le savez peut-être mieux que nous, par aventure. (Acte 1, scène 15, CHARLOT)
Pargué très souvent ; il était coutumier de ça quasiment autant que vous, Monsieu le Bailli. (Acte 1, scène 15, CHARLOT)
Avancez, Monsieur le Bailli, avancez ; mais que vos recors se tiennent écartés, surtout : car je donnerai de l'épée dans le ventre, au premier qui hasardera de s'approcher. (Acte 1, scène 22, CLITANDRE)
Qui souvent n'en a que le son. v.42 (Acte 1, scène 25, MONSIEUR TOUVENEL)

LE TUTEUR (1694)

La mine est éventée ; quel parti prendre ? (Acte 1, scène 10, L'OLIVE)
Il faut pourtant se hâter de prendre parti ; et voici une aventure qu'il faut brusquer, si vous voulez la conduire à bonne fin. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
Cela est bien tendre :mais, dites-moi un peu, Monsieur, si par aventure les belles consentent au voyage, cette affaire-ci me paraît d'une nature à mériter que la justice s'en mêle. (Acte 1, scène 17, L'OLIVE)
Pour moi, Monsieur, je ne veux pas être la dupe de cette affaire, s'il vous plaît ; je démêlerai l'aventure, et vous me vengerez de ces Insolents. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
Cette aventure produira des effets admirables, Lisette. (Acte 1, scène 20, ANGÉLIQUE)
Je sais l'aventure. (Acte 1, scène 23, LE CHEVALIER)
Souvenez-vous quelquefois de moi, je vous prie ; ne donnez jamais de coups de bâton à vos Jardiniers, ces marauds-là savent les rendre. (Acte 1, scène 23, L'OLIVE)

LES VENDANGES (1694)

Tu me fais toujours queuque pièce, et stanpendant ça ni fait rien, je t'aime assez comme ça ; je t'aimerais trop si tu étais milleure, et les maris qui aimont trop leurs femmes, ne s'en trouvont pas mieux le plus souvent. (Acte 1, scène 2, LUCAS)
Mon pauvre Monsieur Lucas, je suis fâché de cette aventure ! (Acte 1, scène 16, ÉRASTE)

LES EAUX DE BOURBON (1697)

Il est un peu sujet aux aventures d'éclat, c'est un de ces fripons de distinction. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
Vous venez souvent ici l'un et l'autre : mais ce ne sont pas les mêmes raisons qui vous y amènent. (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Je confonds, Monsieur, je vous demande pardon ; c'est que Madame la Marquise me contait dans le moment une aventure de la rue de l'Université, à peu près... (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
Voici pourtant une affaire assez délicate ; et si Monsieur mon maître, par aventure, était las de son mariage, comme ce n'est qu'un mariage à la dragonne, nous pourrions bien... (Acte 1, scène 18, LA ROCHE)
Le secret est éventé, mon gendre : mais il n'importe. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR GROGNET)
Qui bien souvent a plus d'un père. v.80 (Acte 1, scène 2, LE PANTALON)

L'IMPROMPTU DE GARNISON. (1692)

Il s'agit de me bien mettre dans l'esprit de ta belle Maîtresse, de purger son âme de cette prévention naturelle qu'ont toutes les personnes de ce pays-ci contre les manières Françaises, et de la rendre enfin sensible à ma tendresse, Marton. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Madame, c'est ici une de ces aventures qui déconcerte un Cavalier. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
Il y a deux ans qu'il n'a que trois soldats qui lui servent de laquais et de valet de chambre. (Acte 1, scène 8, MARTON)
Il y en a de plusieurs espèces ; mais ordinairement ce sont de jeunes gens entêtés de leur qualité, badins, folâtres, enjoués, qui parlent beaucoup et qui disent peu, soupirant sans tendresse, amoureux par conversation, magnifiques sans biens, généreux en promesses, prodigues d'amitiés, inventeurs de modes, et des airs surtout. (Acte 1, scène 11, MARTON)
L'étourderie d'un écolier, la brusque valeur d'un enfant de Paris, fracas d'équipage, tabatières de quinze différents volumes, gros noeuds d'épée, perpétuel maniement de perruque, distractions continuelles, gestes affectés, éclats de rire sans sujet, mots favoris placés à l'aventure, se piquant d'esprit et de bon goût, et disant quelquefois de bonnes choses par hasard ; grands épouseurs surtout. (Acte 1, scène 11, MARTON)
Encore autre impromptu, je t'épouse, et vivent les Français, Marton. (Acte 1, scène 20, MERLIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 50 textes (soit une présence dans 2,64 % des textes) dans lesquels il y a 588 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 11,76 occurences par texte.

n°	Titres	Prologue	Acte 2	Acte 1	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Total
1	L'OP?RATEUR BARRY	0	2	0	0	0	0	0	2
2	LES AGIOTEURS	0	5	0	8	0	0	0	13
3	LES ENFANTS DE PARIS	0	7	6	3	11	3	0	30
4	LES FONDS PERDUS	0	1	3	3	0	0	0	7
5	LA TRAHISON PUNIE	0	3	1	3	1	2	0	10
6	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	1	0	0	0	0	0	1
7	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	1	3	2	4	3	0	13
8	L'IMPROMPTU DE SURESNES	0	10	0	0	0	0	0	10
9	LE CHEVALIER ? LA MODE	0	5	2	5	4	4	0	20
10	LA F?TE DE VILLAGE.	0	3	3	1	0	0	0	7
11	LA COM?DIE DES COM?DIENS	0	1	5	5	0	0	0	11
12	SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR	0	9	7	2	0	7	0	25
13	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	7	1	0	0	0	0	8
14	SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX	0	3	0	0	0	0	0	3
15	LA FEMME D'INTRIGUES.	0	4	3	4	7	3	0	21
16	LES F?ES.	0	5	0	0	5	0	0	10
17	LES BOURGEOISES ? LA MODE.	0	6	6	3	6	4	0	25
18	LA MÉTEMPSYCOSE	0	3	2	5	1	8	0	19
19	NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS	0	11	2	0	0	0	0	13
20	CÉPHALE ET PROCRIS	0	9	3	5	6	0	0	23
21	MADAME ARTUS	0	5	7	1	8	1	0	22
22	LES VACANCES	0	0	14	0	0	0	0	14
23	LES VACANCES	0	0	1	0	0	0	0	1
24	LA D?ROUTE DU PHARAON	0	0	18	0	0	0	0	18
25	LA DÉROUTE DU PHARAON	0	0	2	0	0	0	0	2
26	LA MAISON DE CAMPAGNE	0	0	15	0	0	0	0	15
27	LE GALANT JARDINIER	0	0	17	0	0	0	0	17
28	LE GALANT JARDINIER	0	0	2	0	0	0	0	2
29	LES CURIEUX DE COMPI?GNE	0	0	4	0	0	0	0	4
30	LES CURIEUX DE COMPIÈGNE	0	0	2	0	0	0	0	2
31	RENAUD ET ARMIDE	0	0	3	0	0	0	0	3
32	LA FOLLE ENCH?RE	0	0	9	0	0	0	0	9
33	LE RETOUR DES OFFICIERS	0	0	6	0	0	0	0	6
34	L'OP?RA DE VILLAGE	0	0	3	0	0	0	0	3
35	LE CHARIVARI	0	0	4	0	0	0	0	4
36	LE VERT-GALANT	0	0	7	0	0	0	0	7
37	LE VERT-GALANT	0	0	1	0	0	0	0	1
38	LE BON SOLDAT	0	0	5	0	0	0	0	5
39	LE PRIX DE L'ARQUEBUSE	0	0	7	0	0	0	0	7
40	LES F?TES NOCTUNES DU COURS	0	0	8	0	0	0	0	8
41	LES FÊTES NOCTUNES DU COURS	0	0	3	0	0	0	0	3
42	LE DIABLE BOITEUX	0	0	6	0	0	0	0	6
43	LE DIABLE BOITEUX	0	0	3	0	0	0	0	3
44	LES FÉES.	0	0	3	0	3	0	0	6
45	COLIN-MAILLARD.	0	0	5	0	0	0	0	5
46	COLIN-MAILLARD.	0	0	4	0	0	0	0	4
47	LA PARISIENNE	0	0	13	0	0	0	0	13
48	L'?T? DES COQUETTES	0	0	14	0	0	0	0	14
49	LA D?SOLATION DES JOUEUSES	0	0	12	0	0	0	0	12
50	L'IMPROMPTU DE LIVRY	0	0	2	0	0	0	0	2
51	LA FOIRE DE BESONS	0	0	17	0	0	0	0	17
52	LA FOIRE DE BESONS	0	0	2	0	0	0	0	2
53	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	6	0	0	0	0	6
54	LA FOIRE SAINT GERMAIN	0	0	1	0	0	0	0	1
55	LES VENDANGES DE SURESNES	0	0	7	0	0	0	0	7
56	LES VENDANGES DE SURESNES	0	0	2	0	0	0	0	2
57	LA LOTERIE	0	0	7	0	0	0	0	7
58	LE MOULIN DE JAVELLE.	0	0	12	0	0	0	0	12
59	LA GAZETTE	0	0	7	0	0	0	0	7
60	LE MARI RETROUV?	0	0	10	0	0	0	0	10
61	LE MARI RETROUVÉ	0	0	1	0	0	0	0	1
62	LE TUTEUR	0	0	7	0	0	0	0	7
63	LES VENDANGES	0	0	2	0	0	0	0	2
64	LES EAUX DE BOURBON	0	0	5	0	0	0	0	5
65	LES EAUX DE BOURBON	0	0	1	0	0	0	0	1
66	L'IMPROMPTU DE GARNISON.	0	0	6	0	0	0	0	6
67	LA COMÉDIE DES COMÉDIENS	0	0	0	0	6	0	0	6
	Total	0	101	340	50	62	35	0	588